Experts-Solidaires s’associe à l’association Esho-Ko-Iya afin de mettre en place un projet de gestion intégrée des ressources forestières et développement d’activités économiques alternatives dans la commune de Glazoué au Bénin. Le Bénin est un pays fortement victime du changement climatique, par des périodes de fortes inondations ou à l’inverse de grandes sécheresses.
Le projet se situe dans le village de Yaongo, commune de Dargo. Cette commune est située à l’Est de Kaya, chef-lieu de la région de Centre Nord. Elle fait partie de la province du Namentenga dont le chef-lieu est Boulsa. Dargo est entièrement située dans le bassin versant du fleuve Nakambé. Experts-Solidaires et ADVY ont mené ensemble de 2016 à 2018 un projet de création de réseau d’eau potable, d’installation de latrines et d’aménagement d’infrastructure d’approvisionnement en eau agricole. A l’issu de ces deux ans, un réseau d’eau, un réservoir de 40m3 et une pompe solaire de capacité 40m3/jour ont été créée et permettent d’approvisionner 4 bornes fontaines et 40 branchements privées. Une citerne agricole destiné à améliorer l’irrigation d’un grand périmètre agricole a été construite.
De la citerne principale, partira un canal en béton pour alimenter des puisards secondaires de 2 m de diamètre et autant de profondeur. Chaque famille disposera d’un terrain de 25 m x 60 mètres pour du maraîchage. Le pompage de l’eau d’irrigation se fera à partir d’une citerne installée sur les conduites de sortie du barrage de Yaongo. En plus des infrastructures, un volet formation des agriculteurs a été réalisé par un expert solidaire. Les paysans de Yaongo ont été sensibilisés à l’importance de la concertation de groupe pour la gestion des terres et de l’eau agricole. Ceci a abouti sur la création d’un bureau exécutif. Les agriculteurs ont aussi été formés à la culture de la pomme de terre. La production a été efficace mais le manque de connaissances sur le stockage et la transformation de celles-ci a causé de pertes importantes.
Experts-Solidaires s’associe à l’association pour le développement du village de Yaongo (ADVY) afin de mettre en place un réseau d’eau potable et d’irrigation dans le village de Yaongo, dans la commune de Dargo, au Nord Est de Ouagadougou. Le projet vise à améliorer l’accès à l’eau potable et à l’eau d’irrigation pour les 3 500 habitants de Yaongo avec l’objectif d’améliorer leur santé, réduire la pénibilité liée à l’eau, développer l’économie par l’amélioration de la gestion de l’eau agricole. Trois volets seront abordés :
1- eau potable : construction d’un réseau d’eau, formation et sensibilisation
2- irrigation :construction de citernes et appui à la gestion de l’eau agricole
3- énergie solaire pour alimenter les deux précédents et fournir quelques services.
Ce projet s’inscrit dans la ligne du plan national d’adduction en eau potable et assainissement du Burkina Faso 2015 qui indique que: l’état planifie, les communes sont maîtres d’ouvrage, les ONG contribuent à la réalisation sur le terrain et les populations contribuent aux travaux.
Ce projet vise à mettre en place un réseau d’assainissement pour le village d’Ighir Nouamane. C’est un projet de coopération décentralisée entre la commune de Nihit dans la vallée de l’Arghen (Province de Taroudant) et la commune de Marseillan dans le département de l’Hérault. L’objectif principal est d’améliorer l’accès à l’assainissement pour les populations rurales de cette région de l’Anti-Atlas. En parallèle de la réalisation technique, le projet comporte un volet éducatif qui se traduit par une correspondance entre les élèves des 2 communes. Enfin, le projet s’inscrit dans un processus de gestion intégrée de la ressource en eau (GIRE). Les acteurs locaux (professeurs, parents d’élèves, élèves, association d’usagers, élus…) sont formés aux bonnes pratiques de l’utilisation de l’eau, à la gestion d’un réseau d’eau potable et à la GIRE.
Ighir Nouamane est village enclavé, accessible par la piste, qui compte 850 habitants en période estivale. Le réseau d’eau potable du village existe depuis 2008 mais il n’y a aucune infrastructure d’assainissement, mis à part les puits perdus pour les eaux de toilettes. La condition sanitaire du village est préoccupante, les rejets d’eaux usées directs dans les rues contribuent à l’insalubrité.
Ce projet vise à mettre en place un réseau d’eau potable pour les villages d’Idaoulimit et Imounarim. C’est un projet de coopération décentralisée entre la commune d’Imi N Tayert dans la vallée de l’Arghen (Province de Taroudannt) et la commune de Marsillargues (département de l’Hérault). L’objectif principal est d’améliorer l’accès à l’eau pour les populations rurales de cette région de l’Anti-Atlas. En parallèle de la réalisation technique, le projet comporte un volet éducatif qui se traduit par une correspondance entre les élèves des 2 communes. Enfin, le projet s’inscrit dans un processus de gestion intégrée de la ressource en eau (GIRE). Les acteurs locaux (professeurs, parents d’élèves, élèves, association d’usagers, élus…) sont formés aux bonnes pratiques de l’utilisation de l’eau, à la gestion d’un réseau d’eau potable et à la GIRE.
Les villages d’Idaoulimit et Imounarim sont des petits villages enclavés, accessible par la piste, qui font face à un exode rural. La population est composée essentiellement de femmes avec leurs jeunes enfants et de retraités. La majorité des hommes actifs partent dans les grandes villes pour des raisons économiques. En période estivale, Idaoulimit compte 600 habitants et Imounarim 450.
Un réseau d’eau potable existait dans le village d’Imounarim mais ne permettait pas de desservir toutes les habitations. Les habitants avaient alors recours à des camions citernes, pour remplir leur réservoir. L’eau pouvait ainsi stagner plusieurs mois.
Le village d’Idaoulimit ne dispose d’aucun réseau d’eau potable. Les habitants sont contraints de porter les bidons d’eau depuis la source située en bas du village.
Ce projet vise à mettre en place un réseau d’eau potable pour le village de Tidriouine. C’est un projet de coopération décentralisée entre la commune de Toughmart dans la vallée de l’Arghen (Province de Taroudannt) et le SIEA de Ganges (département de l’Hérault). L’objectif principal est d’améliorer l’accès à l’eau pour les populations rurales de cette région de l’Anti-Atlas. En parallèle de la réalisation technique, le projet comporte un volet éducatif qui se traduit par une correspondance entre les élèves des 2 communes. Enfin, le projet s’inscrit dans un processus de gestion intégrée de la ressource en eau (GIRE). Les acteurs locaux (professeurs, parents d’élèves, élèves, association d’usagers, élus…) sont formés aux bonnes pratiques de l’utilisation de l’eau, à la gestion d’un réseau d’eau potable et à la GIRE.
Les habitants du village de Tidriouine s’alimentaient en eau à partir de canaux en bas du village, qui prennent leur source dans l’oued. L’eau était utilisée pour tous les usages (boisson, bétail, lessive, agriculture). Les habitants étaient ainsi soumis à une corvée d’eau quotidienne en transportant des bidons d’eau jusqu’à leur habitation. La qualité de l’eau était très problématique : l’eau est souillée par les déchets solides, les animaux s’y abreuvent et les bidons ne sont pas désinfectés pour le stockage de l’eau.
Le projet d’adduction d’eau potable bénéficie aux 700 habitants que compte le village de Tidriouine.
Ce projet vise à mettre en place un réseau d’eau potable pour le village de Tamjdaout. C’est un projet de coopération décentralisée entre la commune d’Adar dans la vallée de l’Arghen (Province de Taroudannt) et la commune de Montaud (département de l’Hérault). L’objectif principal est d’améliorer l’accès à l’eau pour les populations rurales de cette région de l’Anti-Atlas. En parallèle du volet technique, le projet comporte un volet éducatif qui se traduit par une correspondance entre les élèves des 2 communes. Enfin, le projet s’inscrit dans un processus de gestion intégrée de la ressource en eau (GIRE). Les acteurs locaux (professeurs, parents d’élèves, élèves, association d’usagers, élus…) sont formés aux bonnes pratiques de l’utilisation de l’eau, à la gestion d’un réseau d’eau potable et à la GIRE.
Le village de Tamjdaout est un village enclavé située à une altitude de 1 830 m. La population est composée essentiellement de femmes avec leurs jeunes enfants et de retraités. La majorité des hommes actifs partent dans les grandes villes pour des raisons économiques. En période estivale, Tamjdaout compte 150 habitants.
Les habitants s’alimentent en eau à partir d’une métfia (un réservoir de 6 m3 rempli à partir d’eau de pluie). L’eau étant stagnante, les habitants injectent de l’eau de javel dans le réservoir. Le stockage de l’eau dans les habitations se fait alors dans de mauvaises conditions (bidons non désinfectés, non recouverts). La bonne qualité de l’eau ne peut être garantie dans ces conditions.
Experts-Solidaires, en partenariat avec Majika, appuie à la mise en place d’une centrale solaire dans le village de Marosely au Nord de Madagascar. Après les travaux de construction de la structure, les 304 modules ont été installés en 6 jours ! Le projet vise à la réalisation de l’électrification du village de Marosely. Il comprend…
Ce projet vise à mettre en place un réseau d’assainissement pour le village de Ben Ali. C’est un projet de coopération décentralisée entre la commune d’Arazane dans la vallée de l’Arghen (Province de Taroudant) et le Sivom de la Palus (communes de St-Just et St-Nazaire de Pézan, dans le département de l’Hérault). L’objectif principal est d’améliorer l’accès à l’assainissement pour les populations rurales de cette région de l’Anti-Atlas. En parallèle de la réalisation technique, le projet comporte un volet éducatif qui se traduit par une correspondance entre les élèves des 2 communes. Enfin, le projet s’inscrit dans un processus de gestion intégrée de la ressource en eau (GIRE). Les acteurs locaux (professeurs, parents d’élèves, élèves, association d’usagers, élus…) sont formés aux bonnes pratiques de l’utilisation de l’eau, à la gestion d’un réseau d’eau potable et à la GIRE.
Le village de Ben Ali compte 250 habitants et comporte un réseau d’eau potable depuis 2014. Avec l’installation du réseau AEP, les consommations ont augmenté et par conséquent les rejets d’eaux usées. La problématique de l’assainissement du village est ainsi soulevée vu les conditions sanitaires du village. Les habitants pourront alors s’équiper en toilettes et douches et les rejets d’eaux de lessive ne se feront plus dans les environs du village comme actuellement.
