Archives de portfolio : Amandine Laré Dondarini

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Burkina Faso

BURKINA FASO, GOUNGHIN – EAU POTABLE POUR LES DÉPLACÉS

Depuis 2015 le Burkina Faso est la cible de plusieurs groupes armés et le théâtre d’assassinats et d’affrontements récurrents et intenses, aux conséquences humanitaires catastrophiques. Cette situation a entraîné à l’heure actuelle le déplacement d’environ 3 500 personnes en provenance de l’Est du pays dans la Commune de Gounghin, et ce nombre va certainement croitre de jour en jour. Elles fuient la violence des affrontements, par crainte pour leur vie, mais aussi parce qu’elles n’ont plus accès dans leur village d’origine aux services sociaux de base, tels que l’eau potable, l’éducation ou la santé.

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SÉNÉGAL

SÉNÉGAL – NÉMATABA, EAU POTABLE ET ASSAINISSEMENT


Ce projet vise à rétablir et élargir le service public d’eau potable et d’assainissement de la commune rurale de Némataba, dans la région de Casamance au Sénégal, où aucune source d’eau améliorée et aucun service d’assainissement sont à la disposition de la population.
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TOGO

TOGO – GESTION INTÉGRÉE DE LA RESSOURCE EN EAU (GIRE) DANS LE BASSIN DU FLEUVE MONO

Palestine
Le projet participe à la mise en œuvre de la GIRE, à l’échelle locale des communes de Yoto1 et Yoto3 du bassin du Mono, en répondant à la politique nationale de l’eau du Togo, fondée sur la reconnaissance de la triple dimension de l’eau : sociale, économique et environnementale fondement de la GIRE. Le projet s’inscrit dans un programme à long terme de développement territorial du Bassin du Mono au Togo. Bien que ce bassin soit connu et étudié depuis de nombreuses années, ce n’est que récemment (2014) que l’Autorité du Bassin du Mono (ABM) fut créée. A ce jour, la jeune structure (rendue opérationnelle le 31 octobre 2019) élabore un SDAGE qui devait être présenté en juillet 2021 aux autorités togolaises. Sur le terrain, aucune coordination locale n’est encore présente en termes de GIRE.
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BÉNIN

BÉNIN, GLAZOUÉ – GESTION INTÉGRÉE DES RESSOURCES FORESTIÈRES ET DÉVELOPPEMENT D’ACTIVITÉS ÉCONOMIQUES ALTERNATIVES

Dans la commune de Glazoué, au Bénin, la population de l’arrondissement de Zaffé souhaite améliorer le sort des habitants de la zone en mettant en œuvre un projet de gestion intégrée des ressources forestières, mêlant activités économiques alternatives et éducation environnementale.En effet, Zaffé est très touché par la déforestation, dans un contexte rural empreint de pauvreté, avec une pratique d’extension des terres en abattis-brûlis, et de fabrication et vente de charbon de bois.

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CAMEROUN

CAMEROUN, MBANKOMO, EAU POTABLE ET ASSAINISSEMENT

Experts-Solidaires appuie la commune de Mbankomo avec AUNTD et ERA Cameroun dans la mise en place d’un projet d’accès à l’eau potable et à l’assainissement pilote dans 10 villages dans la commune de Mbankomo au sud de Yaoundé au Cameroun, par la mise en place de 10 forages équipés de pompes à main, de deux blocs de latrines dans une école et d’un fort volet d’éducation à l’assainissement et à l’hygiène. Ce projet a fait l’objet d’une instruction préalable conduite par trois élèves d’AgroParisTech-Montpellier en Mars 2017, mandatés et supervisés par Experts-Solidaires.

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MADAGASCAR

MADAGASCAR – EAU ET ASSAINISSEMENT DANS LES COMMUNES D’ANDRANOHINALY ET ANDRANOVORY, ATSIMO ANDREFANA

Palestine
Dans les communes d’Androhinaly et Andranovory, l’accès à l’eau est extrêmement difficile, notamment en raison de la sécheresse qui sévit depuis plusieurs années dans le Sud Malgache. Ces communes ne disposent pas de points d’eau et les habitants doivent acheter l’eau en bidons à des camions privés transporteurs d’eau, à environ 10 EUR/m3. En raison du coût, la consommation d’eau est très faible, les gens ne peuvent pas se laver, ils doivent consacrer une partie importante de leur revenus à l’achat d’eau, parfois plus de 50%. Toute leur attention, leur énergie est consacrée à la recherche et au paiement de l’eau domestique. La zone disposait de forages mais ceux-ci sont hors service en raison d’éboulements. Certaines ONG ont essayé de faire des nouveaux forages mais ont renoncé en raison de la difficulté de repérage des lieux potentiels et le coût des forages, d’une profondeur d’environ 300 mètres. Le présent projet va donc viser dans un premier temps à créer de la ressource en eau et dans un deuxième temps, d’équiper ces communes d’un réseau.
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Territoires palestiniens

TERRITOIRES PALESTINIENS – HÉBRON, GIRE ET AGRICULTURE

Palestine

Exposées au mitage des colonies environnantes et aux interdictions imposées par l’armée israélienne, les populations rurales de Cisjordanie ont un accès de plus en plus dégradé aux ressources en eau et à leurs terres. En 2009, un rapport de la Banque mondiale a fait ressortir le grand déséquilibre en faveur d’Israël dans la maîtrise de la ressource et dans l’accès à l’eau puisqu’un Israélien dispose en moyenne de 4 fois plus d’eau qu’un Palestinien.

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MAROC

MAROC – TIFELSINE, EAU POTABLE ET GIRE

Tifelsine, Maroc, puit, eauCe projet vise à mettre en place un réseau d’eau potable pour le village de Tifelsine. C’est un projet de coopération décentralisée entre la commune d’Adar dans la vallée de l’Arghen (Province de Taroudannt) et la commune de Saint Drezéry (Hérault). L’objectif principal est d’améliorer l’accès à l’eau pour les populations rurales de cette région de l’Anti-Atlas. En parallèle du volet technique, le projet comporte des formations pour la population locale sur les usages de l’eau et les bonnes pratiques d’assainissement, une sensibilisation à la gestion des déchets solides. De plus, les associations d’usagers en charge de la gestion des réseaux d’eau seront formées techniquement et administrativement. Ce projet s’inscrit dans un processus de gestion intégrée de la ressource en eau (GIRE), avec notamment un volet de lutte contre les inondations et de suivi des nappes.
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TOGO

TOGO – GESTION DE L’EAU ET L’ASSAINISSEMENT, PETITS CENTRES


Le présent projet vise à créer une base de gestion alternative à la gestion communautaire, souvent défaillante au Togo, ou à la gestion par l’opérateur national, la Togolaise des Eaux, dont les méthodes et coûts de fonctionnement ne sont pas adaptés aux petits centres. La délégation de service à un opérateur privé s’impose comme une troisième voie, à expérimenter au Togo. C’est l’objet de ce projet.
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BÉNIN

BÉNIN, PORTO NOVO – VALORISATION DES INSECTES POUR L’ALIMENTATION


Le projet de valorisation des insectes pour l’alimentation du Bénin est un projet de développement agricole et de sécurité alimentaire. Le but est de mettre en place une filière d’insectes comestibles, de l’élevage à la transformation et à la commercialisation. On fournit ainsi à la population une source de protéines et d’oligo-éléments très intéressante, écologique et abordable, qui permettra de participer à l’amélioration de l’état de sécurité alimentaire général.

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MADAGASCAR

MADAGASCAR – ANTRANOKARANY, RÉSEAU D’ÉNERGIES VILLAGEOISES

Ce projet a pour ambition de favoriser un accès fiable et durable à l’électricité pour les populations rurales de la Commune d’Antranokarany au nord de Madagascar, par la mise en service d’un Réseau Énergie Villageois (REV).Le développement du REV et de l’électrification rurale permettront d’étendre l’accès à certains services (santé, éducation) pour la population grâce à une électricité abordable mais également de développer d’avantage l’entrepreneuriat des entreprises locales et d’améliorer la capacité de gestion des acteurs locaux.
L’objectif du projet est ainsi d’améliorer durablement les conditions socio-économiques des populations des zones rurales malgaches où moins de 10% des populations rurale ont accès à l’électricité.
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BÉNIN

BENIN, PORTO-NOVO – APPUI A L’ONG GBOBETO DANS LA MISE EN PLACE D’OPERATION DE TRI ET DE RECYCLAGE DES DECHETS MENAGERS

Ce projet est porté par le Conseil des Béninois de France et l’association Gbobéto, de droit français et béninois. L’objectif du projet est favoriser le développement inclusif et durable de la ville de Porto-Novo en impulsant une économie circulaire autour de la récupération et de l’insertion des matières recyclables issues des ordures ménagères dans des filières de valorisation pérennes et génératrices d’emploi. Experts-Solidaires d’intervient dans ce projet que dans une logique d’appui est conseil sur 2 volets :
– Appui à l’amélioration du dispositif de tri dans les centres de transferts de la SGDS
– Amélioration des aspects économiques, notamment pour améliorer le revenu des femmes

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BURKINA FASO

BURKINA FASO, LÂ-TODEN – PROJET D’AMÉLIORATION DU SERVICE DE L’EAU ET D’ASSAINISSEMENT

La commune rurale de Lâ-Toden est située à 132 km de Ouagadougou et à 25 km de Yako, chef-lieu de la province du Passoré, et compte 39 000 hommes et femmes vivant dans 16 villages. La commune fait partie des neuf communes de la province du Passoré, située dans la région du nord, dans la zone soudano-sahélienne. Cette zone se caractérise par une forte variation des températures, de l’intensité des vents et de la pluviométrie. Ces variations temporelles affectent particulièrement la pluviométrie qui est très mal répartie.

L’objectif principal de ce projet est d’améliorer les conditions sociales et sanitaires des populations du centre de la commune de Lâ-Toden par l’amélioration et l’élargissement du service d’eau potable existant, au bénéfice des 12 000 habitants de la zone agglomérée.

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BURKINA FASO

BURKINA FASO, YAONGO – AMÉLIORATION DES CULTURES MARAÎCHÈRES LOCALES

Experts-Solidaires a appuyé l’Association de Développement du Village de Yaongo (ADVY) dans le cadre d’un projet d’accès à l’eau potable. A l’issue de deux années de projet, un réseau d’eau, un réservoir de 40m3 et une pompe solaire de capacité 40m3/jour ont été installés et permettent aujourd’hui d’approvisionner 4 bornes fontaines et 40 branchements privés alimentant 3 000 personnes.
Une citerne agricole a également été construite avec un système de pompage solaire, pour alimenter un ensemble maraîcher de 40 parcelles.

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INDONÉSIE

INDONÉSIE, PAPOUASIE, KAÏMANA, ALIMENTATION EN EAU DU VILLAGE D’URISA


Experts-Solidaires, avec l’association française Hamap Humanitaire, appuie la commune de Kaïmana et les habitants d’Urisa à accéder à l’eau potable. Le site se situe à Urisa, base du projet scientifique Lengguru, conduit par l’IRD (Institut de recherche pour le Développement’ pour recenser la biodiversité de la région.

Le projet  a pour premier objectif de contribuer à l’accès aux services essentiels en eau potable de ces populations par une utilisation rationnelle des ressources naturelles en eau. Le premier site pilote se situe au village d’Urisa, aux portes de la réserve de biodiversité de la région de Kaïmana . Situé en amont de la baie d’Arguni, le village d’Urisa compte près de 270 habitants. Chaque famille s’alimente en eau de pluie et s’éclaire grâce à un groupe électrogène pour quelques heures par jour si leurs revenus leur permettent.

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MADAGASCAR

MADAGASCAR – AMPASINDAVA, EAU POTABLE

Palestine
Ce projet s’inscrit dans une coopération décentralisée entre le département du Finistère et la région DIANA dans le Nord de Madagascar. Il vise à alimenter le village d’Ampasindava, 1000 habitants, en eau potable ainsi qu’à y améliorer la situation de l’assainissement. En effet, la population de ce village s’alimente en eau potable à partir de deux petits puits à l’eau totalement insalubre. La mise en place d’un réseau d’eau permettra non seulement d’améliorer la vie des gens sur place mais aussi de lancer des activités génératrices de revenus telles que le tourisme local.
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MADAGASCAR

MADAGASCAR – JOFFREVILLE, EXTENSION ET D’AMÉLIORATION DU RÉSEAU D’EAU

Palestine
Ce projet de 2 ans, entre le Conseil Départemental du Finistère et la Commune Rurale de Joffreville, s’inscrit dans une logique de continuité de la coopération décentralisée entre le département du Finistère et la région DIANA, à Madagascar, avec le support de l’Agence de L’Eau Loire-Bretagne.
La ville de Joffreville, nommée Ambohitra avant la colonisation, est une ville nichée à plus de 1000 mètres d’altitude sous une magnifique forêt tropicale humide au pied du massif d’Ambre. Après le départ des français, la plupart des infrastructures de base n’ont subi aucune intervention d’où le surnom de « ville fantôme » qu’on attribue parfois à Joffreville. Mais cette image est progressivement en train de changer, les infrastructures touristiques et hotellières se développant autour de la montagne d’Ambre.
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MADAGASCAR

MADAGASCAR, AMPASINDAVA, ÉLECTRIFICATION RURALE

Palestine
Ce projet de 2 ans, entre le Conseil Départemental du Finistère et la Commune Rurale de Joffreville, s’inscrit dans une logique de continuité de la coopération décentralisée entre le département du Finistère et la région DIANA, à Madagascar, avec le support de l’Agence de L’Eau Loire-Bretagne.
La ville de Joffreville, nommée Ambohitra avant la colonisation, est une ville nichée à plus de 1000 mètres d’altitude sous une magnifique forêt tropicale humide au pied du massif d’Ambre. Après le départ des français, la plupart des infrastructures de base n’ont subi aucune intervention d’où le surnom de « ville fantôme » qu’on attribue parfois à Joffreville. Mais cette image est progressivement en train de changer, les infrastructures touristiques et hotellières se développant autour de la montagne d’Ambre.
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MADAGASCAR

MADAGASCAR, EAU POTABLE À ANKAZOABO, MANOMBO, ANAKAO, SOALARY

Palestine
Ce projet s’inscrit dans le cadre d’une coopération décentralisée entre le SEDIF et les communes de la province d’Atsimo Andrefana, dans le Sud Ouest de Madagascar. Cette coopération dure depuis 2008 avec le financement des réseaux de Saint Augustin, Manombo Sud, Ambahikily et Ankililoaka. En parallèle, a été mis en place un système de suivi technique et financier des réseaux d’eau sur la province d’Atsimo Andrefana.
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MAROC

MAROC – AÏT IBOURG, EAU POTABLE ET GIRE

Tifelsine, Maroc, puit, eauLa vallée de l’Arghen, comprenant 5 communes rurales identifiées, à savoir Arazane, Toughmart, Imi N’Tayart, Nihit et Adar, a été le territoire retenu par l’agence de bassin Souss Massa pour favoriser l’accès à l’eau de cette région montagneuse où les conséquences du changement climatique se font sentir, avec notamment une forte variation des pluies et des crues dévastatrices. En 2015, une première phase du programme a été lancée sous la forme de coopération décentralisée (loi Oudin-Santini). La réalisation des infrastructures de cette phase s’est achevée en fin 2017.
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MAROC

MAROC – GESTION INTÉGRÉE DE LA RESSOURCE EN EAU (GIRE) DANS LA VALLÉE DE L’ARGHEN

Tifelsine, Maroc, puit, eauLa vallée de l’Arghen, comprenant 5 communes rurales identifiées, à savoir Arazane, Toughmart, Imi N’Tayart, Nihit et Adar, a été le territoire retenu par l’agence de bassin Souss Massa pour favoriser l’accès à l’eau de cette région montagneuse où les conséquences du changement climatique se font sentir, avec notamment une forte variation des pluies et des crues dévastatrices. En 2015, une première phase du programme a été lancée sous la forme de coopération décentralisée (loi Oudin-Santini). La réalisation des infrastructures de cette phase s’est achevée en fin 2017.
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SÉNÉGAL

SÉNÉGAL – MBOUR, ETUDE POUR L’EXTENSION DU RÉSEAU D’EAU ET D’ASSAINISSEMENT

Tifelsine, Maroc, puit, eauMbour est une ville de l’ouest du Sénégal, située sur la Petite-Côte à environ 100 km au sud de Dakar, la capitale. Cette commune connait une pleine croissance économique et démographique et n’arrive pas à garantir les services de base aux nouveaux habitants dans de nombreux quartiers.
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