Guatemala, Province de Quetzaltenango – Biodigesteurs collectifs dans les communautés Mayas du Guatemala
Le projet accompagne l’installation, l’utilisation et l’appopriation de biodigesteur à…
Le projet accompagne l’installation, l’utilisation et l’appopriation de biodigesteur à…
Depuis 2015 le Burkina Faso est la cible de plusieurs groupes armés et le théâtre d’assassinats et d’affrontements récurrents et intenses, aux conséquences humanitaires catastrophiques. Cette situation a entraîné à l’heure actuelle le déplacement d’environ 3 500 personnes en provenance de l’Est du pays dans la Commune de Gounghin, et ce nombre va certainement croitre de jour en jour. Elles fuient la violence des affrontements, par crainte pour leur vie, mais aussi parce qu’elles n’ont plus accès dans leur village d’origine aux services sociaux de base, tels que l’eau potable, l’éducation ou la santé.
Dans la commune de Glazoué, au Bénin, la population de l’arrondissement de Zaffé souhaite améliorer le sort des habitants de la zone en mettant en œuvre un projet de gestion intégrée des ressources forestières, mêlant activités économiques alternatives et éducation environnementale.En effet, Zaffé est très touché par la déforestation, dans un contexte rural empreint de pauvreté, avec une pratique d’extension des terres en abattis-brûlis, et de fabrication et vente de charbon de bois.
Experts-Solidaires appuie la commune de Mbankomo avec AUNTD et ERA Cameroun dans la mise en place d’un projet d’accès à l’eau potable et à l’assainissement pilote dans 10 villages dans la commune de Mbankomo au sud de Yaoundé au Cameroun, par la mise en place de 10 forages équipés de pompes à main, de deux blocs de latrines dans une école et d’un fort volet d’éducation à l’assainissement et à l’hygiène. Ce projet a fait l’objet d’une instruction préalable conduite par trois élèves d’AgroParisTech-Montpellier en Mars 2017, mandatés et supervisés par Experts-Solidaires.
Exposées au mitage des colonies environnantes et aux interdictions imposées par l’armée israélienne, les populations rurales de Cisjordanie ont un accès de plus en plus dégradé aux ressources en eau et à leurs terres. En 2009, un rapport de la Banque mondiale a fait ressortir le grand déséquilibre en faveur d’Israël dans la maîtrise de la ressource et dans l’accès à l’eau puisqu’un Israélien dispose en moyenne de 4 fois plus d’eau qu’un Palestinien.
Le projet de valorisation des insectes pour l’alimentation du Bénin est un projet de développement agricole et de sécurité alimentaire. Le but est de mettre en place une filière d’insectes comestibles, de l’élevage à la transformation et à la commercialisation. On fournit ainsi à la population une source de protéines et d’oligo-éléments très intéressante, écologique et abordable, qui permettra de participer à l’amélioration de l’état de sécurité alimentaire général.
Ce projet est porté par le Conseil des Béninois de France et l’association Gbobéto, de droit français et béninois. L’objectif du projet est favoriser le développement inclusif et durable de la ville de Porto-Novo en impulsant une économie circulaire autour de la récupération et de l’insertion des matières recyclables issues des ordures ménagères dans des filières de valorisation pérennes et génératrices d’emploi. Experts-Solidaires d’intervient dans ce projet que dans une logique d’appui est conseil sur 2 volets :
– Appui à l’amélioration du dispositif de tri dans les centres de transferts de la SGDS
– Amélioration des aspects économiques, notamment pour améliorer le revenu des femmes
La commune rurale de Lâ-Toden est située à 132 km de Ouagadougou et à 25 km de Yako, chef-lieu de la province du Passoré, et compte 39 000 hommes et femmes vivant dans 16 villages. La commune fait partie des neuf communes de la province du Passoré, située dans la région du nord, dans la zone soudano-sahélienne. Cette zone se caractérise par une forte variation des températures, de l’intensité des vents et de la pluviométrie. Ces variations temporelles affectent particulièrement la pluviométrie qui est très mal répartie.
L’objectif principal de ce projet est d’améliorer les conditions sociales et sanitaires des populations du centre de la commune de Lâ-Toden par l’amélioration et l’élargissement du service d’eau potable existant, au bénéfice des 12 000 habitants de la zone agglomérée.
Experts-Solidaires a appuyé l’Association de Développement du Village de Yaongo (ADVY) dans le cadre d’un projet d’accès à l’eau potable. A l’issue de deux années de projet, un réseau d’eau, un réservoir de 40m3 et une pompe solaire de capacité 40m3/jour ont été installés et permettent aujourd’hui d’approvisionner 4 bornes fontaines et 40 branchements privés alimentant 3 000 personnes.
Une citerne agricole a également été construite avec un système de pompage solaire, pour alimenter un ensemble maraîcher de 40 parcelles.
Experts-Solidaires, avec l’association française Hamap Humanitaire, appuie la commune de Kaïmana et les habitants d’Urisa à accéder à l’eau potable. Le site se situe à Urisa, base du projet scientifique Lengguru, conduit par l’IRD (Institut de recherche pour le Développement’ pour recenser la biodiversité de la région.
Le projet a pour premier objectif de contribuer à l’accès aux services essentiels en eau potable de ces populations par une utilisation rationnelle des ressources naturelles en eau. Le premier site pilote se situe au village d’Urisa, aux portes de la réserve de biodiversité de la région de Kaïmana . Situé en amont de la baie d’Arguni, le village d’Urisa compte près de 270 habitants. Chaque famille s’alimente en eau de pluie et s’éclaire grâce à un groupe électrogène pour quelques heures par jour si leurs revenus leur permettent.
Le projet vise à développer l’activité agricole et en particulier la filière maraîchère afin de favoriser l’autonomisation des femmes et l’activité professionnelle des jeunes dans la commune de Némataba, en Haute-Casamance au Sénégal où les produits maraîchers, souvent très chers, proviennent en grande partie de la région de Dakar.
Le projet présenté se situe dans l’Ouest de l’Ukraine en Transcarpatie, dans une région restée à l’abri des combats. Le projet vise à alimenter en eau potable le village de Nijnié Sélitché, dans la commune de Khust. Les 2500 habitants de ce village disposent de puits, mais l’eau y est contaminée par les effluents de surface et se raréfie en raison des changements climatiques.
Experts-Solidaires intervient en appui à l’Association Transcarpatienne pour le Développement Local (ATDL) qui est à l’origine du projet, et à la Commune de Khust, où se trouve le village. Le projet prévoit dans un premier temps l’étude du réseau et ensuite la construction d’un système d’approvisionnement en eau, comprenant des installations de prise d’eau, une unité de traitement de l’eau et des conduites d’eau principales.
L’évolution bioclimatique du terroir de la commune d’Aboalimena a été plutôt défavorable ces 20 dernières années. Le changement du lit du Manambolo et plusieurs années de sécheresse ont asséché la zone des baiboho au nord-ouest et à l’ouest. Alors qu’on cultivait autrefois le riz à proximité du village, les agriculteurs ont délaissé ces terres pour cultiver des terres de hatsake, prises sur la forêt vers l’est et le sud.
Ce projet s’inscrit dans le cadre d’une coopération décentralisée entre les villes de Foumban et de Jouy-en-Josas.
La ville de Foumban a produit environ 70 tonnes de déchets par jour en 2021. Seulement 40% de ces déchets sont collectés et transportés à la décharge municipale. Le projet d’amélioration de la gestion des déchets dans la ville de Foumban vient alors répondre à un besoin d’amélioration de la santé des habitants par la mise en place d’un service de collecte, de tri et de valorisation des déchets, environnementalement et économiquement sain.
Ce projet entre dans la continuation des relations entre la commune de Verrières Le Buisson, du SEDIF et de la commune de Zorgho au Burkina Faso, qui vise à améliorer l’accès à l’eau et à l’assainissement dans la commune.
Le projet vise spécifiquement un village situé à l’Est de la commune, Sapaga, qui malgré un statut de petite ville rurale (6000 habitants), ne dispose pas encore de réseau d’eau potable.
A Madagascar, le taux d’accès à l’eau potable est estimé à 46 % (selon le PNUD, 2015), dont 74 % en milieu urbain et seulement 26 % en rural. Dans la commune de Mantasoa, l’alimentation en eau se fait essentiellement à partir de puits et sources qui se tarissent en saison sèche et dont l’eau est sale en saison de pluie (de novembre à avril). Au centre de la commune, un réseau existe mais il est mal géré et ne dessert qu’un faible partie de la population. Le projet d’alimentation en eau potable de Mantasoa a démarré en 2015 dans le cadre d’une collaboration entre la commune d’Auch (Gers, France) et la commune de Mantasoa.
Ce projet vise à rétablir et élargir le service public d’eau potable et d’assainissement de la commune rurale de Némataba, dans la région de Casamance au Sénégal, où aucune source d’eau améliorée et aucun service d’assainissement sont à la disposition de la population.
Le projet prévoit la réhabilitation et l’extension d’un ancien réseau d’eau potable, ainsi que la mise en place de blocs sanitaires publics, et toutes les mesures d’accompagnement nécessaires à la création d’un service public d’eau potable et d’assainissement durable et performant.
A travers la coopérative ADIANES, Experts-Solidaires souhaite améliorer les conditions de vie socio-économique de ses membres, de leur famille et de l’ensemble de la population de Phinaya. Cet objectif sera atteint à travers une double action sur l’accès à l’électricité et son utilisation productive pour la valorisation de la laine d’Alpaga. Dans son programme 2024, le gouvernement fournira à la coopérative des machines pour transformer la laine d’alpaga en fibre artisanale.
Le projet accompagne l’installation, l’utilisation et l’appopriation de biodigesteur à usages collectifs dans les villages de la Victoria, de Buena Vista et de Valle Palajunoj à San Juan de Ostuncalco dans le département de Quetzaltenango.
La commune souffre d’un problème de gestion de ses eaux usées, qui se déversent dans la rivière Itopka, dans laquelle est puisée, en amont de la commune, l’eau pour son service d’eau.
Le projet vise à promouvoir une dynamique locale de Gestion Intégrée de la Ressource en Eau (GIRE) par le développement cohérent de l’assainissement et de la REUT dans les Gouvernorats d’Hébron et de Tubas.